Le débat est le suivant : les petites capitalisations vont-elles un jour de nouveau mener pendant une longue période, ou sont-elles définitivement handicapées parce que les entreprises étudiantes attendent d'être grandes pour entrer en bourse de nos jours, ce qui fait que les petites capitalisations manquent de véritable croissance et d'excitation (comme une ligue de développement sans aucun espoir). Je penche pour la seconde option, mais je ne suis pas totalement sûr.