Google a annoncé le 10 juillet une mise à jour de la politique d’échange de crypto-monnaies et de « portefeuille logiciel » qui s’applique à toute personne souhaitant proposer son application crypto via le Google Play Store. En examinant les exigences réglementaires qu’ils énumèrent pour certaines juridictions, il semble que « portefeuille logiciel » signifie portefeuille de garde, mais c’est loin d’être clair. Ils ne définissent pas le terme et ne reconnaissent pas que l’enregistrement en tant qu’ESM n’est pas spécifiquement et clairement exigé par le FinCEN. Ailleurs, Google déclare que « l’achat, la détention ou l’échange de crypto-monnaies doit être effectué par le biais de services certifiés dans des juridictions réglementées ». Cela ne signifie probablement pas « ne peut pas être fait SANS une telle certification » alors qu’elle n’est pas requise, mais cela pourrait évidemment être lu de cette façon. Bonne chance à tous pour trouver l’avocat de Google qui a rédigé ou signé les politiques. Apple est similaire. C’est un peu le bordel. Le patron final de la crypto est désormais plus susceptible d’être les plateformes Big Tech qui dictent toujours les principaux canaux de distribution d’applications crypto. Ils ne sont pas tenus d’être équitables, cohérents ou transparents.