J'ai investi dans toutes sortes de classes d'actifs : l'art contemporain, l'art moderne, les montres, comme vous le savez. L'un des domaines qui m'a vraiment intrigué ces dernières années, ce sont les cartes de sport et l'indexation de leur dynamique de capital et des prix auxquels elles se vendent. La rareté de certaines d'entre elles est si profonde qu'elle est très similaire aux meilleurs rendements que j'ai réalisés sur des montres comme les Pièces Uniques de F.P. Journe ou d'Audemars Piguet, ou certains Patek qui sont très difficiles à obtenir, des Tudors uniques, ou des Rolex très rares. Elles représentent 80 % ou 90 % de la capitalisation boursière de ma collection, ce qui est énorme.