C'est un classique de la pharma ! Hotez voit des problèmes avec les vaccins à virus vivant. Les problèmes liés à l'utilisation de vaccins vivants sont réels, mais il les voit parce que c'est une technologie ancienne et qu'elle est en concurrence avec les nouvelles technologies—là où se trouve l'argent. Il ne voit pas les problèmes bien plus graves des plateformes alternatives, et ne le fera pas, peu importe l'ampleur des dommages. C'est le jeu de la pharma : 1. Posséder une certaine propriété intellectuelle et revendiquer un bénéfice médical plausible de votre médicament ou autre technologie brevetée. 2. Exagérer ou fabriquer carrément des preuves de ce bénéfice. Minimiser et nier les dommages, en manipulant les victimes en cours de route. 3. Minimiser les avantages des stratégies alternatives et ridiculiser les partisans comme des charlatans et des imposteurs. 4. Exagérer ou fabriquer les dommages des remèdes et des mesures préventives concurrentes, surtout s'ils sont hors brevet, multiplier par 10 si l'alternative est naturelle et bénéfique pour la santé plutôt que médicale. 5. Faire déclarer votre technologie dangereuse comme le "standard de soins" afin que les médecins aient peur de ne pas la prescrire, ou mieux encore, de l'administrer par injection, de la déclarer comme un vaccin, de l'inscrire au calendrier vaccinal pour les enfants. Cela évite la responsabilité, même lorsqu'elle est administrée aux adultes ! 7. Et ensuite, si vous voulez vraiment impressionner les actionnaires, redéfinissez 'pandémie' pour qu'elle soit basée uniquement sur la transmissibilité, plutôt que sur la gravité, et faites en sorte que les gouvernements du monde achètent et imposent votre sauce secrète. Peter Hotez est un homme de paille pour un racket criminel, qu'il le sache ou non. Votre santé dépend de votre capacité à voir à travers son discours.