Le débat sur la pétition à la Chambre des communes concernant l'abrogation de la Loi sur la sécurité en ligne était un peu une blague. Il était pratiquement entièrement composé de partisans de la Loi, justifiant l'expansion du régime de censure. C'est pourquoi j'ai travaillé pour essayer de déplacer cette conversation à Washington.

Ce n'est pas seulement que les politiciens britanniques sont hostiles au premier amendement. Ils le considèrent comme une nuisance, quelque chose qui doit être détruit en ligne. Rien de ce qui s'est passé aujourd'hui n'a changé mon opinion à ce sujet. Au contraire, cela l'a renforcée.

À la fin de la journée, les droits constitutionnels des citoyens américains ne sont pas des choses qui seront négociées. Il n'y aura pas de compromis. Il n'y aura pas d'acceptation des violations. Nous gagnerons, et le Royaume-Uni perdra.