Les professeurs de ma génération expriment parfois leur frustration face au fait que les jeunes chercheurs ne s'engagent pas suffisamment avec les travaux antérieurs (par exemple, les travaux de la fin du 20ème siècle) À mon avis, ce n'est *pas* le problème sur lequel nous devrions nous concentrer.

Un résultat inévitable de la mise en mouvement des choses dans la bonne direction sera que les jeunes chercheurs ignorent plus souvent des idées véritablement utiles que nous avons développées il y a des décennies. C'est regrettable en soi, mais nous devrions le voir comme une partie d'un changement libérateur qui est dans l'ensemble positif.